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Dans les exploitations, l’alimentation à base de rations sèches demande beaucoup de travail. La distribution manuelle peut devenir une charge quotidienne, en particulier lorsque les troupeaux sont importants ou que les fourragères sont longues. Un tapis d’alimentation est une solution pratique et économique, qui non seulement facilite le travail, mais améliore également le bien-être et les performances des animaux.

Produire des fruits en suffisance, de bonne qualité et qui se conservent bien, tout en réduisant l’utilisation des produits phytosanitaires de synthèse, tel était l’objectif des essais réalisés entre 2013 et 2025 au verger-école de Grangeneuve.

Les couples dans le secteur agricole doivent relever ensemble des défis particuliers, qui ne sont plus les mêmes qu’il y a 10 ou 20 ans. Grangeneuve organise une série de cours qui abordent différents aspects pour collaborer et/ou vivre ensemble sur une exploitation. C’est l’opportunité de laisser de la place à des réflexions et des discussions qui parfois sont laissées de côté dans le quotidien.

Avec l’introduction du programme « Couverture appropriée du sol », qui exige le semis d’un couvert ou de la culture suivante dans les 7 semaines après la récolte, de nombreux couverts courts ont nouvellement été implantés ces dernières années. Afin que cette mesure prenne tout son sens, il faut réussir à obtenir un bon résultat en termes de développement du couvert, mais également veiller aux aspects économiques que ces travaux impliquent.

Quand le thermomètre grimpe, nos animaux souffrent. Les poulets, surtout en fin d’engraissement, sont très sensibles au stress thermique et un excès de chaleur dans une halle peut avoir des effets catastrophiques. Il en est de même pour tous les autres animaux de rente : pertes de production laitière chez les vaches, manque d’accroissement chez les bovins, réduction massive de la fertilité chez les truies, etc.

Journée pratique avec interventions théoriques, visite et échange d’expériences au Domaine de Crévy.

L’évaluation sensorielle du fourrage complète les résultats d’analyse chimique. Les caractéristiques olfactives, mais aussi les facteurs connus et visibles comme la composition botanique, le stade de développement et la longueur de la coupe viennent apporter des informations sur la qualité de la conservation.

Et si nous parlions un peu d’éthologie. Nous travaillons avec elles tous les jours : nous les trayons, les nourrissons, les soignons. Mais comment perçoivent-elles ces différentes intéractions ? Comment éviter de stresser nos vaches et rendre le travail plus agréable et sécuritaire, tant pour les vaches que pour l’agriculteur.